A travers ce marché, découvrez la richesse de la création bangladaise !

Friendship Bangladesh proposera à la vente des maquettes de bateaux en bois et des écharpes confectionnés au Bangladesh, selon un savoir-faire traditionnel.

– Les écharpes Friendship, en soie ou en coton, sont faites à la main par des habitantes de la région des Chars, située sur le fleuve Brahmapoutre. Leur vente permet à Friendship de continuer à offrir à ces femmes formation et rémunération, dans une région particulièrement isolée et fortement touchée par les catastrophes naturelles.

– Les bateaux Friendship témoignent de la longue culture maritime du Bangladesh, qui disposait de l’une des plus anciennes flottes navales au monde. Afin de conserver ce savoir-faire ancestral, Friendship emploie les derniers charpentiers du secteur à la construction de maquettes de nombreux navires qui autrefois naviguaient sur les fleuves et mers d’Asie du Sud.

♦ L’Etend’arz : En favorisant le travail d’artistes et d’artisans, cette association repose la question des modes de production et de leur impact sur l’environnement. Lors du BanglaDAY, deux collections d’objets textiles seront présentées : SIFAT et AZTA.

– Sérigraphiée et fabriquée en petite série, la collection SIFAT est née d’une collaboration avec l’artiste franco-bangladaise Sifat Quazi. Son univers graphique unique vient sublimer des tissus récupérés et transformés en pochettes ou coussins.

– La collection AZTA utilise des tissus artisanaux provenant des centres de tissage de Friendship au Bangladesh. Ce projet éthique et solidaire permet de soutenir les valeurs du commerce équitable, du respect de l’individu et de l’environnement.

♦ Nilufar JahanNée à Dacca, cette artiste-plasticienne et styliste vit à Paris depuis 30 ans. Dans les années 80, elle commence à utiliser le Jamdani dans ses créations. Elle les enrichira par la suite à travers l’usage de teinture végétale et de peinture sur tissu.

Lors du BanglaDAY, Nilufar Jahan proposera à la vente ses créations originales textiles en Jamdani, une mousseline de coton. Ce tissu, considéré au Bangladesh comme un symbole fort d’identité et d’expression culturelle, est inscrit par l’UNESCO au patrimoine immatériel culturel depuis 2013.