Maldives, Birmanie, Thaïlande…Ces pays évoquent pour beaucoup des destinations de rêve, des plages paradisiaques et des paysages de carte postale. Pourtant, ces images cachent une réalité sociale et politique beaucoup plus violente, maintenue loin des regards des touristes. Voyager dans ces pays revient-il à cautionner le pouvoir en place ? Faudrait-il s’interdire de les visiter et boycotter définitivement ces destinations? A l’inverse, le tourisme ne permet-il pas d’ouvrir une brèche et de permettre une vigilance accrue de la communauté internationale sur ces pays ?
Francis Perrin, vice-président d’Amnesty International France et Sophie Brondel, coordinatrice de l’association Info Birmanie partagent leur point de vue et expertise pour vous aider à répondre à ces questions.