Le sommet international ’Rio + 20’, en juin 2012, devait marquer d’une pierre blanche le développement durable, 20 ans après le Sommet de la Terre à Rio de Janeiro, qui avait vu la naissance de ce terme. Il n’en fut rien. Ce grand raout ne déboucha que sur une déclaration vague et décevante. Mais cet échec est celui de la gouvernance internationale et non celui du développement durable.

Le Worldwatch Institute, principal think tank américain de recherche environnementale, a dressé juste avant ce sommet une esquisse de programme pour les années à venir. Traduit et publié par la Fondation GoodPlanet, ce rapport propose un ensemble de réflexions et d’outils intellectuels novateurs à travers l’ouvrage Rio+20, l’état de la planète. Dans ce livre, les auteurs montrent qu’une prospérité durable ne dépend pas uniquement des décisions gouvernementales, mais aussi et surtout de l’action de la société civile.

A travers Des idées pour changer le monde, cette publication présente une action mesurable vers plus d’emplois verts, une alimentation plus saine, une énergie plus durable, une eau plus pure, des océans vivants, des villes florissantes et de moins en moins de désastres perturbateurs. Bref, vers une prospérité partagée qui puisse durer sur les siècles à venir.

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